Too Good To Go Blog
Confus par la date « meilleur avant »? Une nouvelle étude dévoile combien les Québécois pourraient économiser en la comprenant mieux
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Confus par la date « meilleur avant »? Une nouvelle étude dévoile combien les Québécois pourraient économiser en la comprenant mieux

Au Québec, 28 %du gaspillage et des pertes alimentaires se produit à la maison, et la date « meilleur avant » en est la deuxième cause. Savez-vous combien la confusion autour de la date « meilleur avant » coûte aux ménages québécois? Pour célébrer le premier anniversaire du lancement de l’initiative « Observez, sentez, goûtez » au pays, Too Good To Go publie une nouvelle étude d’envergure mandatée au Laboratoire de sciences analytiques en agroalimentaire de l’Université Dalhousie, qui répond à cette question. Cette étude révèle l’opportunité que nous avons de gaspiller moins et d'économiser plus à la maison, simplement en démystifiant la date « meilleur avant ».
Une date à laquelle les Québécois sont attachés…
Différents enseignements marquants ressortent de cette étude menée auprès d’un panel représentatif de 1 084 répondants âgés de 18 ans et plus, partout au pays. Tout d’abord, le premier constat est que les Québécois sont fortement attentifs, attachés et influencés par la date « meilleur avant ».
Ce type de date indiquée sur la majorité des produits à l’épicerie n’est ignorée que par 2% des Québécois, lors de l’achat. Par ailleurs, 8 Québécois sur 10 choisissent le produit avec le plus de temps restant avant la date « meilleur avant » lors de leurs achats en magasin. Enfin, près de 3 Québécois sur 4 se basent uniquement sur cette date pour décider s’il est sécuritaire de manger un aliment.
…qui reste pourtant incomprise
1 tiers des Québécois sondés ne connaît pas la signification de la date « meilleur avant », et près d’1 quart l’associe à la définition d’une date limite d’utilisation (date à laquelle l'aliment devient impropre à la consommation).
Comme le mentionne l’Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), la date « meilleur avant » indique pendant combien de temps un aliment non ouvert et entreposé correctement conserve sa qualité optimale — et non sa sécurité. Les produits ayant une durée de conservation supérieure à 90 jours ne nécessitent par ailleurs pas de date « meilleur avant ».
Cette incompréhension de la date « meilleur avant » cause davantage de gaspillage alimentaire. Ceci étant dit, la connaissance ne fait pas tout. Même pour les 2 tiers des Québécois qui connaissent la signification de la date « meilleur avant », plus de 500 $ par ménage est jeté par an en raison d’une date dépassée.
59 % des Québécois jettent des aliments parce qu’ils craignent l’intoxication alimentaire. Cette statistique illustre les différents niveaux de tolérance au risque, qui modèrent l’impact des connaissances des dates. Par ailleurs, 43 % des Québécois trouvent important de réduire le gaspillage alimentaire pour l’environnement. Lorsque cette conscience environnementale est présente, les niveaux de gaspillage sont moins élevés.
Une opportunité d’économie substantielle
Un ménage québécois estime jeter en moyenne 604 $ d’aliments chaque année, en raison d’une date dépassée. Sur ce montant, 290 $ sont jetés à cause d’une confusion autour de la date « meilleur avant ». Alors, comment agir pour réduire ce gaspillage et faire des économies.
Lancée il y a un an, l’initiative de Too Good To Go « Observez, sentez, goûtez » encourage les consommateurs à faire confiance à leurs sens lorsque la date « meilleur avant » est dépassée ou absente. Plus de 7 millions d’emballages de produits ont porté le pictogramme « Observez, sentez, goûtez » cette dernière année au pays, incluant des produits de marques québécoises comme Aliments Capel, Flirt Drinks, Epic Tofu, Healtea, le Groupe Bel et Dums Coffee. Lorsque la date « meilleur avant » d’un produit bien entreposé et non ouvert est dépassée, prenez un moment pour l’observer, le sentir et, si tout semble normal, le goûter avant de le jeter. Un simple réflexe qui peut faire une réelle différence : moins de gaspillage, plus d’économies, et un geste concret pour la planète.
En parallèle, l’application Too Good To Go permet aux Québécois de sauver de la nourriture invendue (dont la date « meilleur avant » est proche ou dépassée, dans le cas de produits emballés) de plus 4,500 commerces alimentaires. En réservant un Panier Surprise chaque semaine, un·e Québécois·e peut économiser près de 700 $ par an sur sa facture d’épicerie — tout en contribuant activement à la lutte contre le gaspillage alimentaire.
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