Press ReleaseEnquête: une personne sur deux ressent la crise climatique au quotidien et est prête à faire quelque chose pour y remédier

Le 23 avril 2025
La dernière enquête représentative de Too Good To Go montre que la crise climatique, la politique mondiale et l’inflation préoccupent actuellement le plus les Suisses et Suissesses. Une personne sur deux est préoccupée par le climat au quotidien – en Suisse romande, un tiers des personnes ne croit plus que la crise climatique puisse être stoppée. La moitié de la population sait qu’elle peut faire encore plus pour lutter contre la crise climatique et que le gaspillage alimentaire est l’une des mesures les plus efficaces.

Cela fait déjà longtemps que la crise climatique et les défis économiques marquent les esprits en Suisse. Depuis peu cependant, les inquiétudes suscitées par les incertitudes mondiales se font de plus en plus sentir. Y a-t-il encore suffisamment d’attention portée sur la lutte contre la crise climatique? Avec pour mission claire de réduire le gaspillage alimentaire pour un environnement durable, Too Good To Go fait de ce thème une priorité au quotidien. C’est le cas actuellement avec une enquête représentative sur l’impact de la crise climatique sur le quotidien des Suisses et Suissesses. (Enquête représentative avec l’institut spécialisé en études de marché Appinio GmbH en mars 2025 auprès de 500 Suisses et Suissesses) Cette enquête le démontre: les conflits internationaux et la sécurité, l’inflation et l’économie ainsi que la crise climatique et l’environnement sont les sujets qui préoccupent le plus les Suisses et Suissesses. Toutefois, elle montre aussi qu’il y a une volonté de lutter activement contre la crise climatique.
Le changement climatique pèse sur la population Suisse
Plus de 70% des personnes interrogées considèrent le changement climatique comme menaçant ou très menaçant. 66,2% des personnes en Suisse se sentent affectés émotionnellement par le changement climatique – fortement ou du moins modérément. Seule une personne sur dix ne ressent pas d’«éco-anxiété». Cette incertitude a des conséquences concrètes: 46,4% déclarent avoir déjà adapté leur mode de vie et leurs habitudes de consommation. Les projets d’avenir évoluent également – beaucoup remettent en question leur mobilité, leur carrière ou même leurs projets familiaux.
Les Suisses et Suissesses considèrent que la responsabilité est portée à l’échelle individuelle
Malgré les inquiétudes, le pessimisme ne domine pas: 51,2% pensent que la crise climatique peut encore être stoppée. Fait particulièrement frappant: 32,2% des personnes interrogées estiment qu’elles sont elles-mêmes responsables en premier lieu, et non la politique ou l’économie. Par conséquent, ce sont les individus qui peuvent le plus contribuer à un changement positif. Seuls les moins de 30 ans se sentent moins responsables. Selon ces personnes, ce sont surtout les grandes puissances économiques et le monde politique qui sont responsables. Près d’une personne sur deux est convaincue de pouvoir contribuer encore plus à la protection du climat.
Différences régionales dans la perception de la crise
Les conflits internationaux et la sécurité occupent 15,2% des personnes interrogées en Suisse alémanique, suivis de près par la crise climatique et l’inflation (13,9% dans les deux cas). En Suisse romande, en revanche, le thème de l’inflation et de l’économie occupe clairement la première place avec 22,4%. Une autre différence notable se manifeste dans la question de la responsabilité dans la lutte contre la crise climatique: les personnes vivant en Suisse alémanique considèrent de loin que l’individu est responsable. Bien que cette réponse soit également la plus souvent citée en Suisse romande, l’écart par rapport aux options suivantes est nettement plus faible. Les Suisses romands n’attribuent pas seulement des responsabilités à l’échelle individuelle, mais aussi aux grands acteurs économiques et à la politique. On constate également une différence dans l’appréhension de l’avenir: les Suisses romands sont plus pessimistes en ce qui concerne la crise environnementale. À la question de savoir si la crise climatique pouvait encore être stoppée, la majorité a répondu que ce n’était plus possible – seule une atténuation des conséquences semblerait réaliste. En revanche, les Suisses alémaniques se sont montrés plus optimistes: la réponse la plus fréquente est qu’il est possible d’enrayer la crise climatique, mais seulement par des changements radicaux.
Il y a toutefois un consensus: toutes les personnes interrogées souhaitent à l’avenir s’efforcer davantage de recycler les matériaux et d’éviter le gaspillage alimentaire. Près de la moitié d’entre elles envisagent concrètement d’éviter les déchets alimentaires – une approche à fort potentiel, puisque le gaspillage alimentaire est responsable de 10% des gaz à effet de serre mondiaux, dont la majeure partie provient des ménages. La bonne nouvelle: selon Project Drawdown, la réduction du gaspillage alimentaire compte parmi les mesures de protection climatique les plus efficaces au quotidien. C’est précisément là qu’intervient Too Good To Go avec son application qui permet à la fois aux partenaires et aux utilisateurs/trices de préserver les aliments du gaspillage. C’est aussi simple que cela pour chaque Suisse et Suissesse de s’impliquer au quotidien et de contribuer de manière significative à plus de durabilité.
À propos de Too Good To Go Suisse
Too Good To Go propose différentes solutions pour lutter contre le gaspillage alimentaire et exploite la plus grande place de marché au monde pour les excédents alimentaires. Cette entreprise à impact social certifiée B-Corp a pour mission claire de donner aux gens les moyens de lutter ensemble contre le gaspillage alimentaire. Avec plus de 2,6 millions d’utilisateurs enregistrés et près de 7000 entreprises partenaires, l’application Too Good To Go a déjà permis de sauver plus de 13 millions de Paniers Surprises de boulangeries, supermarchés et restaurants en Suisse. L’entreprise danoise, dont le siège se trouve à Copenhague, est active dans 19 pays d’Europe, d’Amérique du Nord et en Australie, totalisant plus de 100 millions d’utilisateurs enregistrés et 175 000 entreprises partenaires dans le monde entier. Depuis son lancement en 2016, Too Good To Go a sauvé plus de 400 millions de repas dans le monde. Selon Project Drawdown (2020), la réduction des pertes alimentaires est l’une des mesures les plus efficaces pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.Partager ce
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